Les fessées de Pierre

Catégories : Hommes fessés
il y a 8 ans

Il fallait être né sous une bonne étoile pour échapper au régime de discipline spartiate de cette institution privée pour garçons qui jurait tellement avec l'imposant et magnifique château de style Mansart entouré d'un vaste parc boisé et tenu de mains de maîtresse femme par sa directrice assistée de ses fidèles éducatrices, nos professeurs.

Il fallait être « Petit Pierre » pour oser défier cette femme altière, aussi intimidante de beauté que redoutable de sévérité et pour qui, dans cette immédiate période d'après-guerre, les châtiments corporels restaient le modèle idéal dans l'éducation des garçons petits et grands. Entrés pleins d'illusions, les nouveaux venus ne tardaient pas à déchanter. Aussi bien, coups de férules, fessées à la main ou au martinet et autres pénitences m o r t ifiantes rythmaient nos journées, concourant généreusement à une pédagogie active du repentir au gré des humeurs de ces demoiselles.

Pierre, dit le « petit » à cause de son physique plus menu qu'il n'aurait dû à son âge, » n'était pas à proprement parler un élève indiscipliné. C'était simplement un garçon d'une espièglerie foncièrement incorrigible et qui semblait survoler avec une candeur désarmante tous les périls que lui faisait inévitablement courir son tempérament de joyeux luron.

Il en avait du reste tous les traits. Une jolie frimousse d'éphèbe en graine, des mèches blondes balayant son front, des yeux bleus pétillants de malice, un sourire enjôleur s'accordaient parfaitement avec son impétuosité naturelle. Malgré sa taille modeste, il était doté d'un corps joliment proportionné, et, surtout, d'une mignonne et affriolante petite croupe qui bombait effrontément sous sa culotte courte d'uniforme d'écolier.

Mais étaient-ce ses espiègleries ou ses rondeurs provocantes qui lui valaient aussi bien l'attention pressante de certains grands élèves que la sollicitude plus énergique de nos éducatrices ? Toujours est-il que, selon, les circonstances, elles étaient fréquemment sujettes tantôt à douces caresses tantôt à claques cuisantes sans que jamais ne s'altère sa nature ingénue de bon garçon.

Rien ne l'arrêtait. C'était plus fort que lui. Emporté par une fougue irrésistible, la moindre occasion lui était prétexte à répéter ses pitreries et autres facéties, la partie la plus avenante de son anatomie en payant le prix du repentir en cuisantes déconvenues ! Certes, ce n'étaient jamais que volées de gifles rapides qui époussetaient le fond de sa culotte courte, seul genre de fessées que nos éducatrices s'autorisaient en public. Incorrigible Petit Pierre ! Il y avait beau temps que son postérieur en avait pris son parti !

Fort heureusement pour lui, ses deux premières années d'institution avaient été jalonnées de bonnes fortunes. Son caractère plaisant, ajouté au charme d'un humour qui faisait souvent mouche, parvenant à dérider même les plus revêches de ces dames, le gratifiait d'une certaine indulgence : jamais aucune ne l'avait envoyé chez Mme la Directrice, jamais la virginité de son adorable petite croupe n'avait encore eu à en souffrir. Il était bien le seul à échapper au châtiment corporel suprême de l'institution, l'une de ces douloureuses, honteuses et redoutées « fessées magistrales » à la main et au martinet. De formidables fessées déculottées à derrière nu que Mme la directrice se réservait d'administrer méthodiquement au fautif dans son bureau ou au cabinet de corrections, petite pièce exclusivement affectée à cet humiliant usage.

Jusqu'au jour où deux événements d'importance dont Petit Pierre eut la primeur en décidèrent autrement...

... où Monsieur Martinien entra en scène... et changea le destin de Petit Pierre (comme le nôtre au reste)

Monsieur Martinien se présenta un jour sous les traits d'un homme d'une trentaine d'années, grand et maigre, d'un naturel austère et rébarbatif qui transparaissait dans le visage émacié et gris, de grosses lunettes à verres fumés dissimulant ses yeux. Ami de Mme la directrice, il était de passage chez nous pour quelques mois à titre de surveillant. Elle l'avait spécialement chargé de nos déplacements et notamment des récréations, comptant sur sa longue expérience d'éducateur dans un strict pensionnat pour garçons. C'était, avec le concierge, rustre une d'une espèce mal embouchée, le deuxième homme dans un environnement exclusivement féminin.

Au début, on l'avait accueilli sans méfiance. Mais on découvrit très vite ses merveilleuses aptitudes de maître ès-discipline. A peine arrivé, en effet, il inaugura une méthode inédite de punition directement importée de son pensionnat avec la bénédiction de sa protectrice.

L'on dut ainsi se plier à une nouvelle pénitence dite des « arrêts » d'un langage proprement militaire : une sorte de cercle imaginaire tracé dans un coin du parc que devaient suivre les punis en tournant en rond indéfiniment durant les récréations et, parfois, munis d'une paire de fesses toutes brûlantes d'une cuisante fessée. Le puni n'avait alors d'autre perspective que de mettre ses pas dans ceux de son prédécesseur, non sans se déprendre toutefois de la hantise permanente de se faire surprendre par la directrice lors de ses tournées d'inspection impromptues, son fidèle martinet à la main ou, en hiver, émergeant en une touffe de luisantes lanières d'une poche de son manteau. « Que faites-vous ici, jeune homme ? Qui vous a puni et pourquoi ? ... » Et selon le cas, de devoir lui rendre aussitôt des comptes autrement plus pénibles dans son bureau ou au cabinet de correction.

Mais avec M. Martinien, la pire des nouveautés, ce furent sans conteste les fessées collectives en public qu'il administrait aussi bien dans la cour de récréation qu'au réfectoire ou en promenade. A la moindre turbulence, cet homme de génie convoquait tous les garçons impliqués, coupables ou non. Et, sans faire de détail, il les courbait les uns après les autres sous un bras et de l'autre appliquait à toute allure une série de claques formidables sur les fonds tendus de leurs culottes et le haut dénudé des cuisses. Et si les lieux lui offraient de quoi s'asseoir, l'on pouvait se retrouver chevauchant à plat ventre l'une de ses cuisses, nos parties génitales abominablement coincées, nos postérieur offerts sans défense à sa main vengeresse. Et je l'avoue, même par-dessus le fond de la culotte, sa main puissante aux doigts durs comme des baguettes de bois vous amenait sans transition au plus sincère des repentirs.

C'étaient des fessées expéditives, certes, mais appliquées avec la vigueur et la détermination des fessées paternelles, et leur sévérité rivalisait presque avec les fessées déculottées à derrière nu dont Mme la Directrice se réservait l'exclusivité. L'effet de surprise de ces corrections impromptues frappait les esprits autant que les cruelles séances publiques de férule auxquelles la directrice soumettait les punis de la veille lors des rassemblements du matin. Petit Pierre fut le premier à l'étrenner et la première victime.

Ce matin-là en récréation, un coup de sifflet strident vrilla l'air, figeant tout le monde sur place. M. Martinien hélait Petit Pierre. Sous nos yeux médusés, on vit soudainement son buste s'engouffrer et basculer sous le bras du surveillant, ses jambes décoller du sol et battre follement en l'air. Sous l'étoffe serrée de sa culotte courte, son postérieur se tendit, tandis que, lancée de toute la hauteur de l'autre bras, la large main de M. Martinien s'abattait à toute allure sur la croupe juvénile.

Les claques retentirent une quinzaine de fois, avec des bruits sourds sur le fond de la culotte courte, des claquements nettement plus clairs sur la peau nue des cuisses. De l'autre côté, Petit Pierre se mit à émettre des glapissements suivis de vrais cris aigus. A peine redéposé sur le sol, il paraissait suffoquer. Les yeux pleins de larmes, les mains courant de son postérieur à ses cuisses, il s'eff o r ç a i t malgré tout de transformer en sourire de bravache une bien vilaine grimace. L'arrière de ses cuisses flamboyait de l'éclat rutilant d'un soleil au couchant.

Impossible d'échapper à la vigilance de M. Martinien ! Derrière l'écran de ses verres fumés, ses yeux aux aguets scrutaient les moindres de nos faits et gestes, et la crainte d'être pris en défaut finit par restreindre notre champ de liberté.

Las ! Un mois plus tard, une bonne moitié de l'institution était passée sous les fourches caudines de ce fesseur émérite, sous les regards admiratifs et approbateurs de nos éducatrices. En un rien de temps, les fessiers de certains d'entre nous furent en mesure de jauger les vertus comparatives d'une fessée de main d'homme ou de main de femme. J'en faisais partie, hélas ! Et loin de moi l'idée de me prononcer pour une préférence... A deux reprises, j'avais senti sa lourde main m'asséner des claquées d'une extraordinaire vigueur, véritables coups de battoir aplatissant mes deux hémisphères jusqu'à ébranler mon corps tout entier.

Mais, ce qui me perturbait chez cet homme, c'était plus la supériorité de sa f o r c e virile qui mettait la mienne à mal, et moins la douleur ressentie que la conscience de la perte de ma dignité d'a d o l e s c e n t . Être humilié de la sorte en public devant des garçons plus jeunes que moi m'était intolérable. Comme la plupart des grands élèves n'avais-je pas la prétention légitime d'exercer sur eux un ascendant d'ancien ? En quoi je me trompais ! D'être traité sur un pied d'égalité ne faisait que renf o r c e r leur sympathie.

Jusqu'au jour où... Petit Pierre dépassant la mesure, Mademoiselle Séverine changea sa manière de faire.

En ce début d'après-midi, à peine venions-nous d'entrer dans la classe de Mlle Séverine que d'étranges et puissants effluves emplirent nos narines d'un parfum entêtant. La stupeur passée, quelques rires étouffés grossirent vite en un chahut mémorable. Aussi agacée qu'intriguée, la jeune femme lança aussitôt son enquête, nez en avant. L'auteur et l'objet du délit furent vite identifiés : Petit Pierre cachait dans son pupitre un gros flacon d'eau de Cologne à demi vide dont il s'était copieusement aspergé ! Le chahut redoubla, ce qui perdit le facétieux garçon.

Les rires se délitèrent soudain lorsque Mlle Séverine, sans un mot, empoignant le coupable par une oreille, l'arracha sans ménagement de son siège et le remorqua à sa suite le long de la travée jusqu'à l'estrade. En chemin, Petit Pierre n'en menait pas large. Demi courbé et trébuchant, grimaçant de douleur, il laissait dans son sillage une puissante traînée d'eau de Cologne et de curieux couinements.

Une fois de plus, comme de coutume, la classe allait assister à l'une des séances ordinaires de correction dont Mlle Séverine avait la spécialité.

A la différence de ses collègues, pour qui une règle n'avait semble-t-il d'autre usage que de meurtrir les paumes des mains ou de raffiner le supplice des rotules d'un puni mis à genoux en pénitence, cette jeune et jolie rousse disposait d'une longue et lourde règle en bois d'ébène aux quatre arêtes serties de fils de cuivre. Elle en usait pour une méthode de correction des plus originales.

Monté sur l'estrade, le buste allongé sur le vaste bureau, les mains cramponnées au bord opposé, le coupable présentait alors son postérieur face à la classe selon l'angle le plus propice. Munie de sa fameuse règle, une main fermement posée sur les reins du malheureux, Mlle Séverine se mettait alors à lui fouetter les fesses, non pas de face et à l'horizontale, mais en suivant une trajectoire verticale, à l'aplomb même du fessier débordant amplement au bord du bureau.

Pour les spectateurs, la règle semblait juste effleurer l'étoffe tendue de la culotte courte à l'endroit le plus charnu de la fesse visée sans autre dommage apparent qu'un petit bruit sec. Mais du côté du patient, c'était sans compter la douleur virulente que provoquait le pincement des chairs malgré les couches superposées de la culotte et du slip. Quatre à six cinglées appliquées avec précision sur cet espace restreint suffisaient ainsi à marquer durablement la peau de part et d'autre de chacune des fesses punies. Bien entendu, certains malins se sentant menacés, se prémunissaient contre le danger en enfilant deux slips l'un sur l'autre. Quelques grimaces savamment feintes et l'astuce grossière semblait couronnée de succès.

Ce jour-là, il en alla tout autrement pour Petit Pierre. Mlle Séverine avait-elle adopté quelques conseils judicieux de M. Martinien pour améliorer sa propre manière de faire ?

Toujours est-il que, au lieu de mener le jeune garçon vers l'estrade, elle le fit grimper sur un tabouret disposé sur le devant de la classe. La suite nous laissa pantois. Elle se mit à dégrafer la ceinture puis à déboutonner la braguette de la culotte courte qui glissa jusqu'aux genoux. L'impensable venait de se produire : elle venait de le déculotter en pleine classe !

Chacun observait, médusé, leur camarade en slip, le visage rouge tomate, comme statufié sur son socle improvisé. Nous n'étions pas au bout de nos surprises. Les mains de Mlle Séverine s'affairaient désormais autour de la taille de Petit Pierre. Non ! Elle n'allait pas oser faire ça!... Pas son slip !... Elle ne l'abaissa pas, non. Se saisissant de la ceinture élastique, elle se mit à la tirer fortement vers le haut jusqu'au nombril. Il ne resta plus alors de la forme originelle du frêle vêtement qu'une espèce de triangle en V dégageant, par devant, les cuisses et les hanches. Fortement comprimées à l'intérieur de la fine étoffe de coton blanc, les parties génitales de Petit Pierre, moulées à leurs formes, se profilèrent sur son ventre en une sorte de protubérance de la plus parfaite indécence.

Puis, l'ayant ainsi troussé, Mlle Séverine le fit pivoter sur le tabouret. Et stupeur ! Par derrière, le slip ne formait plus qu'une mince bride d'étoffe profondément insérée dans la fente fessière, livrant la pleine nudité de deux joues rebondies que certains d'entre nous avaient le bonheur de caresser, de pincer ou de gifler dans l'intimité de quelques recoins obscurs, profitant des faveurs dont le jeune garçon ne se montrait guère avare.

Ce semblant de déculottage accompli, la jeune femme s'empara de sa terrible règle d'ébène, et, se postant sur le flanc gauche du garçon, examina soigneusement le double coussin de chair à portée de ses yeux.

« Je me demande ce que vos parents vont penser de vous, Pierre... une farce stupide, un gaspillage éhonté, une volonté de dissiper et perturber vos camarades... Mais je suis certaine qu'ils approuveront la correction que je suis en devoir de vous infliger ! Comme je suis certaine qu'elle ne sera pas du goût de votre méchant derrière ! »

Ce disant, elle éleva la lourde règle aux arêtes tranchantes et, d'un geste vif du poignet, l'abattit à la verticale, happant au passage le milieu de la fesse gauche avec un bruit sec. Le jeune garçon accueillit cette première cinglée sans un cri, ses hanches se poussant brusquement en avant dans le vide. Sous la cruelle morsure, sa fesse eut un bref tremblement tandis qu'une strie semblable à une grosse virgule en rougissait la peau meurtrie. Le deuxième cinglon laboura le même endroit, élargissant la rougeur.

On vit les muscles fessiers de Petit Pierre se resserrer étroitement le long de la fente, la réduisant en une mince ligne verticale du sommet des reins aux plis cintrés du dessous des fesses, avalant du même coup la mince bande d'étoffe au point que sa croupe entière apparut quasiment nue.

« Souples, vos fesses ! Détendez-les ! Je ne vous le répéterai pas deux fois, mon garçon ! »

Au troisième cinglon, de Petit Pierre leva ses bras et ses reins s'élancèrent v i o l emment, manquant de le faire choir de son piédestal. Mlle Séverine le retint à temps puis appliqua un quatrième cinglon, écharpant durement les chairs déjà rudement meurtries. Cette fois-ci, Petit Pierre poussa un premier jappement de douleur. La partie la plus grasse de sa fesse gauche présentait alors une et même striure boursouflée et v i o l acée tranchant sur le reste de la surface claire de la peau.

Il y eut une pause, puis la séance reprit sur la fesse droite cette-fois-ci. A cette nouvelle morsure de la règle ainsi qu'aux suivantes Petit Pierre ne se retint plus. Tout son corps sembla pris de transes. Ses fesses se contractaient, ses reins se dérobaient, son ventre s'élançait comme sous une brusque poussée de boutoir avant de revenir en position. Et de nouveau ses fesses s'arrondissaient, prêtes à souffrir le prochain et virulent cinglon de règle. On n'entendait plus que ses cris de douleur mêlés de S a n g lots résonner dans la salle. Sa fesse droite commença à ressembler à sa jumelle, une énorme striure se découpant en rouge vif sur la peau blanche.

Jusqu'au moment où... Madame la directrice fit son apparition...

Sa terrifiante silhouette se dressa soudain dans l'encadrement de la porte. Dans la seconde, toute la classe se leva, figée au garde à vous. Ce fut moins l'expression de sévérité qui nous glaça que l'objet qu'elle tenait dans une main : son martinet dont les lanières de cuir fauve se balançaient doucement au bout de leur manche. En une seconde elle eut relié la cause à l'effet ; des effluves à la pitoyable posture de Petit Pierre. Entre elle et Mlle Séverine les échanges furent brefs. Brandissant le martinet, elle en secoua les lanières tout en énonçant la sentence.

« Je vais me charger de ce jeune monsieur, Mademoiselle Séverine, et comptez sur moi, il va le regretter amèrement ! »

Debout sur son tabouret, ses grands yeux écarquillés et larmoyants, on aurait qu'il n'avait pas compris le sens de ces paroles. Sans l'autoriser à remonter sa culotte ni à redéployer son slip d'une façon plus décente, elle le saisit par une oreille et le fit sauter de son tabouret. On le vit clopiner à côté d'elle, s'eff o r ç a nt maladroitement de retenir d'une main sa culotte à demie baissée à ses genoux, et disparaître derrière la porte sa petite croupe blanche, la fente fessière traversée en son milieu de deux rayures rouges et enflées dessinant une sorte de croix. A cet instant, on put entendre les poitrines exhaler un long chuintement d'air trop longtemps longuement contenu dans les poitrines. Un bruit exprimant plus le soulagement que de la pitié pour l'infortuné Petit Pierre. Lui aussi, il allait « la » recevoir...

Depuis quelques minutes, suivant le sillon circulaire creusé dans la terre à f o r c e de passages répétés, deux pieds mènent la ronde juste devant mes yeux. Mes pas dans les siens, je suis du regard mon prédécesseur. La vision me console du feu qui couve encore sous ma culotte, derniers et faibles élancements de mon propre postérieur des suites d'une récente fessée reçue en pleine récréation. L'œuvre de Monsieur Martinien...

Petit Pierre vient en effet de me rejoindre aux « « arrêts. Il avance devant moi, les épaules affaissées et encore secouées de gros S a n g lots. A ses yeux rougis, à son menton frémissant, à ses joues encore luisantes de larmes, il est vain de se demander ce qui vient de se passer. A son tour, notre espiègle a fini par goûter à la « fessée magistrale ». La directrice l'a fouetté avec une sévérité particulière, aggravant la correction à coups de règle. La culotte courte, encore retroussée exprès jusqu'à l'aine, laisse à nu la presque intégralité de ses jambes. Des mollets au sommet des cuisses, devant comme derrière, pas une portion de peau que les lanières de cuir du martinet n'aient épargnée. Un entrelacs serré de zébrures rouges la recouvre, s'infiltrant jusque par-dessous les lisières de sa culotte.

J'ignore ce qui me cause tant de trouble... Ses épaules encore secouées de hoquets ou le souple déhanchement qui accompagne les gracieuses ondulations de sa petite croupe ? J'en frissonne autant de pitié que de désir.

Sous la cambrure de ses reins, ses fesses saillent dans toute leur perfection, le drap bleu marine de sa courte culotte en soulignant le délicat modelé. La couture médiane, légèrement enfoncée dans la dépression de la fente fessière, en délimite les rondeurs avant de s'évaser à la rencontre de ses cuisses en deux fines courbures. Fasciné autant qu'ému, je ne peux me retenir de penser qu'il y a quelques minutes à peine cette jolie paire de fesses avaient été exposées toutes nues et sans défense aux cuisantes claquées de la main de la directrice, avant de se tortiller sous les morsures de son martinet. Comme elles doivent être encore rouges et brûlantes !

Qu'avait donc ressenti Petit Pierre ?

S'est-t-il, comme moi, raidi de frayeur lorsque la directrice a baissé sa culotte ? Suffoqué de honte lorsque les parties les plus intimes de son corps se sont soudain retrouvées nues, en pleine lumière ? A-t-il pu résister aux claques interminables dont on ne sait à quel moment elles vont s'arrêter ? A-t-il crié, pleuré ou tenté de s'enfuir sous les fulgurantes cinglées du martinet ? A-t-il fini, tout comme moi de la première à la dernière fois, par s'abandonner à la volonté de cette femme impitoyable, lorsque, éperdu de honte et de douleur, j'éprouvais en une sorte de soulagement le plaisir trouble d'offrir ma nudité à ses coups ?... Que de questions en suspens qui font battre mon cœur !

Comme par une sorte d'échanges entre vases communicants, il me semble que nos croupes brûlent des mêmes sensations. Comme les braises qui couvent dans le fond de ma propre culotte, sa croupe doit rayonner du même feu ardent.

Je m'abîme sans honte dans les délices des rêveries d'une fusion intime de nos corps nus, de nos croupes toutes palpitantes, brûlant du désir de poser mes mains sur la sienne, de la caresser, de la baiser, de la claquer. M'aurait-il deviné ?

Petit Pierre se retourne et me regarde de ses beaux yeux de faon aux abois encore humides de larmes. Je dois me retenir de les couvrir de doux baisers.

A cet instant précis, pouvais-je pressentir que bientôt le rêve se fondrait dans la réalité ?...

PANPAN

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J'aime bien l'expression : cabinet de correction. Il a du en voir passer des élèves....
Oh, le PANPAN avait déjà des attirances pour les garçons. Et son peusdo indique clairement qu'il aimait aussi donner la fessée
Cette institution privée pour garçons était quand même particulière mais allez donc savoir, notre président de la république y a peut-être séjourné pour y apprendre le vice !
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